Paré d’aigue-marine et d’onyx et d’opale,
Le soir voluptueux sourit bizarrement,
Et, goûtant à demi la saveur du moment,
Nous regrettons tout bas une...

Vertigineusement, j’allais vers les Étoiles…
Mon orgueil savourait le triomphe des dieux,
Et mon vol déchirait, nuptial et joyeux,
Les ténèbres d’été,...

Gellô fut autrefois une vierge aux cheveux
Plus doux que le reflet de la lune sur l’onde,
Et mourut sans frémir de l’angoisse profonde,
Sans avoir connu...

Pourquoi revenir, les paupières avides,
Tournant vers mon seuil tes pas irrésolus ?
Pourquoi m’implorer, Gorgô ? J’ai les mains vides
...

Les pampres du printemps et le vin de l’automne
Ont perdu le parfum qui jadis me fut cher :
Je veux l’haleine chaste et le silence amer,
Les brumes et...

J’aime la boue humide et triste où se reflète
Le merveilleux frisson des astres, où le soir
Revient se contempler ainsi qu’en un miroir
Qui découvre à...

Parmi les ondoiements et les éclairs douteux,
Les langoureux lys d’eau lèvent leur front laiteux.

La rivière d’or roux berce leur somnolence ;
Ce sont...

« Lasse du jardin où je me souviens d’elle,
J’écoute mon cœur oppressé d’un parfum.
Pourquoi m’obséder de ton vol importun,
Divine hirondelle ?

« Tu rôdes, ainsi qu’un désir obstiné,...

Nous ne tisserons pas les graves violettes…
Nous ferons retentir le paktis vaste et doux
À travers les forêts et les plaines muettes,
Et nous...

Τῷ γρίπει Πελάγωνι πατὴρ ἐπέθηϰε Μενισϰος
ϰύρτον ϰαὶ ϰώπαν, μνάμα ϰαϰιζοΐας ;

M...