L’hiver est là. L’oiseau meurt de faim ; l’homme gèle.
Passe pour l’homme encor ; mais l’oiseau, c’est pitié !
Dans un bouquin rongé des rats plus qu’à moitié
J’ai lu qu’il paie aussi la faute originelle.
La bise a mangé l’air, durci le sol, lié
Les ruisseaux. — Temps propice aux heureux ! La flanelle
Les couvre...