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Dans les vieilles forêts où la sève à grands flots
Court du fût noir de l’aulne au tronc blanc des bouleaux,
Bien des fois, n’est-ce pas ? à travers...
XDans les vieilles forêts où la sève à grands flots |
Qu’il est doux d’être au monde, et quel bien que la vie ! Nos chevaux, au soleil, foulaient l’herbe fleurie. |
Oh ! redis-les encor ces paroles dorées ; Hélas ! qui t’a si jeune enseigné ces mystères |
Pour les mélanger sur des toiles |
Alfred, j’ai vu des jours où nous vivions en frères, |
Non, mon cher, Dieu merci ! pour trois mots de critique |
Je m’alanguissais, à voir |
Au rhythme ailé d’or |
Tu sais sur quel passage appuie ou court la voix, |
Poète, il est fini l'âpre temps des épreuves. Au milieu des brumes d'Arvor Heureux qui resta pur... |