JE voudrais, dans les bois que l’automne dépouille
Et par les tout petits sentiers capricieux,
En un jour où l’azur unit la terre aux cieux,
Marcher sur le tapis d’or flexible et de rouille.
Je voudrais respirer la fleur que l’aube mouille,
Dont le parfum se meurt, arome précieux ;
Une dernière fois, réjouir mes deux yeux
Au flot clair de la...