Les bras nus, le teint frais, et la lèvre vermeille,
Dans son berceau d’azur l’Aurore encor sommeille ;
Le jeune Crépuscule, espiègle et triomphant.
Ainsi qu’un frère aîné près d’une sœur enfant.
Sur la pointe des pieds, et le doigt sur la bouche,
Furtif, s’...
|
La nuit pâle s’enfuit ; l’étoile d’or s’éteint. Dans l’anse tout s’anime, hommes, bateaux et dragues. |
|
La confusion morose |
Où vas-tu, souffle d’aurore, |
|
Je te méprise enfin, souffrance... |
Si l’Aurore, toujours, de ses perles arrose |
Toute Aurore même gourde A le pâtre avec la gourde Par avance ainsi tu vis... |
|