I
Malheur à l'enfant de la terre,
Qui, dans ce monde injuste et vain,
Porte en son âme solitaire
Un rayon de l'esprit divin !
Malheur à lui ! l'impure envie
S'acharne sur sa noble vie,
Semblable au Vautour éternel,
Et, de son...
I Malheur à l'enfant de la terre, |
Il s'abat au... |
Mais quel Astre, étalant son écharpe d’albâtre, |
De ses flancs ondulés quand j’ai vu la blancheur, O mort des anciens jours, j’ai compris ta douceur, |
Il est, dans les instans que Dieu lui fit, un âge |
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(A M. de Bonald) |
Il est dit qu'une fois, sur les arides plaines |
Sonnet |