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Front sublime incliné sur l’aurore de Dieu, |
Il en est aussi sur terre Et ces... |
Ils sont trop singuliers pour être de ce monde, |
À l’heure où sur la mer le soir silencieux Ne songes-tu jamais que ce clair firmament, |
Un soir d’été, dans l’air harmonieux et doux, |
Les cieux resplendissants d’Étoiles Quand l’azur déchire ses voiles, |
Bien des astres pareils aux foyers palpitants, Ceints des tourbillons nés de leurs flammes fécondes, |
Viens voir sur la colline, à l’heure où le jour fuit, |
En vain Midi sur les cieux A la première allumée Le regard descend... |