Souvent le coeur qu'on croyait mort
N'est qu'un animal endormi ;
Un air qui souffle un peu plus fort
Va le réveiller à demi ;
Un rameau tombant de sa branche
Le fait bondir sur ses jarrets
Et, brillante, il voit sur les prés
Lui sourire la lune blanche...
|
Leur coeur est ailleurs |
Que me conseillez-vous, mon coeur ? |
Philis, les yeux en pleurs et le coeur en tristesse, |
Du triste coeur vouldrois la flamme estaindre, |
Mon coeur était jadis comme un palais romain, |
Il pleure dans mon coeur |
Ton coeur est fatigué des voyages ? Tu cherches |
Ce coeur plaintif, ce coeur d'automne, |
Cheveux crêpes et longs où mon coeur se désire |