Ô sombre hiver ! Nuit de l’année,
Viens ! Ne garde plus enchaînée
La tempête désordonnée.
Accours des quatre points des cieux ;
Laisse l’ouragan furieux
Briser les chênes soucieux.
Âpre bise, ouragan sonore,
Accourez tous, je vous implore...
Accours des quatre points des cieux ; Âpre bise, ouragan sonore, |
Décembre est revenu dans la pluie et la bise Plus de feuilles aux bois ; pas un oiseau dans l... |
Dimanche : le soleil, dont les pâles rayons |
Les bois ont perdu leur mystère, |
Les bois ont dépouillé leur costume. L’été Voici venir l’hiver, ceint avec majesté |
On n’entend qu’un oiseau, travailleur attardé, |
Phébus à la perruque rousse Le bretteur aux fières tournures |
Hélas ! hier encor sur mon front, sur ma lèvre, Ô pauvre humanité ! J’ai pitié de moi-même |
I Dans nos longs soirs d’hiver, où, chez le bon Armand, |
— « Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre, |