Le jour se glisse tel qu’un mauvais animal
A travers mes vitraux pour surprendre mon mal !
Le jour se glisse, ainsi qu’un serpent s’insinue,
Dans mes regards… Il entre et voit mon âme nue.
Il voit la vérité de mon trop grand amour,
O jour maudit parmi tous les jours… Mauvais jour !
Maudit sois-tu jusqu’à la limite lointaine
Des temps, toi qui surpris ma colère et ma haine !
Maudit, toi qui sus voir, de tes yeux clairs, ô Jour,
L’affreuse immensité de mon terrible amour !