• Dónde te escondes tú?
    Acaso, en esta ciudad enorme
    cuando posan las noches
    que incuban a mis sueños?

    En las calles sin rumbos
    que descubre mi anhelo,
    se ha curvado mi pecho de ternura
    llamando sin palabras por tu nombre

    ............................

    Ya los gallos eslabonan
    un collar de cantos a la aurora.
    Dónde te escondes tú...

  • Le philosophe allait sur son âne ; prophète,
    Prunelle devant l’ombre horrible stupéfaite,
    Il allait, il pensait.

    Il allait, il pensait. Devin des nations,
    Il vendait aux païens des malédictions,
    Sans savoir si des mains dans les ténèbres blêmes
    S’ouvraient pour...

  • O, May I join the choir invisible
    Of those immortal dead who live again
    In minds made better by their presence; live
    In pulses stirred to generosity,
    In deeds of daring rectitude, in scorn
    Of miserable aims that end with self,
    In thoughts sublime that pierce the night like stars,
    And with their mild persistence urge men’s minds
    To...

  • L'invisible lien, partout dans la nature,
    Va des sens à l'esprit et des âmes aux corps ;
    Le choeur universel veut de la créature
    Le soupir des vaincus ou l'insulte des forts.

    L'invisible lien va des êtres aux choses,
    Unissant à jamais ces ennemis mortels,
    Qui, dans l'anxiété de leurs métamorphoses,
    S'observent de regards craintifs ou solennels.
    ...

  • Viens ! - une flûte invisible
    Soupire dans les vergers. -
    La chanson la plus paisible
    Est la chanson des bergers.

    Le vent ride, sous l'yeuse,
    Le sombre miroir des eaux. -
    La chanson la plus joyeuse
    Est la chanson des oiseaux.

    Que nul soin ne te tourmente.
    Aimons-nous! aimons toujours ! -
    La chanson la plus charmante
    Est la...

  • C'est presque l'invisible qui luit
    au-dessus de la pente ailée ;
    il reste un peu d'une claire nuit
    à ce jour en argent mêlée.

    Vois, la lumière ne pèse point
    sur ces obéissants contours
    et, là-bas, ces hameaux, d'être loin,
    quelqu'un les console toujours.