Toi dont la courbe au loin, par le couchant dorée,
S’emplit d’azur céleste, arche démesurée ;
Toi qui lèves si haut ton front large et serein,
Fait pour changer sous lui la campagne en abîme,
Et pour servir de base à quelque aigle sublime
Qui viendra s’y poser et qui sera d’airain !
O vaste...