Quand on rentre, le soir, par la cité déserte,
Regardant sur la boue humide, grasse et verte,
Les longs sillons du gaz tous les jours moins nombreux,
Souvent un chien perdu, tout crotté, morne, affreux,
Un vrai chien de faubourg, que son trop pauvre maître
Chassa d’...
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Souvent, libertin lassé de mon rôle, C’est un sentiment si frais et si pur, |
DEPUIS plus de quinze ans, le nommé Marc Lefort |
Ainsi qu’un malheureux, le corps frileux et gourd, Dans les squelettes noirs des arbres nus et droits, |
À Jules Christophe. L’homme, en manches de veste et, sous son chapeau noir, |
À Jules Bonnassies.
Les deux petites sont en deuil ; Elle inspecte, dans le panier, |
Assis dans mon wagon, la cigarette aux lèvres, |
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Oui ! j’ai changé souvent de maîtresse et d’amours, |
À Henry Cazalis. L’immense ennui, ce fils bâtard de la douleur, J’en atteste ces... |