Oh ! combien de mes jours le cercle monotone
Effare ma pensée et d’ennuis la couronne !
Que faire de mon âme et de ses saints transports,
Dans cet air étouffant qui pèse sur la ville,
Au milieu d’une foule insouciante et vile,
Où dort l’enthousiasme, où tous les cœurs sont morts !
Que faire, dites-moi, de ce culte funeste
Pour tout ce qui...