Sous le fécond soleil des nations antiques,
L'homme était riche en dieux dont il savait les noms ;
Et des images d'or encombraient les portiques,
Ou, géantes, gardaient le seuil des Parthénons.
Et pourtant, jamais las d'encens ni de prières,
L'homme des jours sereins où riaient les dieux nus,
Entre le ciel et lui rêvant plus de lumières,
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