À Henri Ghéon.
Parmi l’arbre, la brise berce
La vipère que je vêtis ;
Un sourire, que la dent perce
Et qu’elle éclaire d’appétits,
Sur le Jardin se...
À Henri Ghéon.
Parmi l’arbre, la brise berce |
À la longue sa faim s’irrite et s’exaspère, |
Au long des murs, quand le soleil y donne, Je reste là sans rêve et sans pensée, |
Que j'aime voir, chère indolente, |
Foisonnantes, couvant des venins séculaires |
D'ailleurs les sages ont dit : Il ne faut point attacher |