Allez au pays de Chine,
Et sur ma table apportez
Le papier de paille fine
Plein de reflets argentés !
Pour encre et pour écritoire,
Allez prendre à l’Alhambra
Le sang d’une mûre noire
Et l’écorce d’un cédrat !
Au fond des vertes savanes...
Allez au pays de Chine, Pour encre et pour écritoire, Au fond des vertes savanes... |
J’aime ta voix, j’aime l’étrange |
Les voix emplissent les airs |
Brisez-leur pattes et vertèbres, Jadis, lorsque mon cœur cassa, — Brisez-leur pattes et... |
Celui qui n’a rien dit — Serrez-le vite en un linceul de paille, Celui qui n’a rien dit |
Je suis celui qui vaticine J’ai vu passer à travers champs Ils portaient des torches ignées, Peu importe l’homme... |
Mon frère ? — il est... |
Les rats du cimetière proche, Ils ont mordu le cœur des morts Ils dévorent le ver qui mange tout Ce sont des rats |
Vous aurez beau crier contre la terre, Ils sont bien morts, les morts, |
La rose ouvre son cœur à l’amoureuse mouche, |