Le couchant adoucit le sourire du ciel.
La nuit vient gravement, ainsi qu’une prêtresse.
La brise a déroulé, d’un geste de caresse,
Tes cheveux aux blondeurs de maïs et de miel.
Tes lèvres ont gardé le pli de la parole...
Tes lèvres ont gardé le pli de la parole... |
Tandis qu’à leurs œuvres perverses Pour les petites pâquerettes, |
Je sais... |
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Si de mai l'haleine envolée Si zéphyr, sur l'azur limpide |
Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor. |
Tandis qu'à leurs oeuvres perverses |
Je dédie à tes pleurs, à ton sourire, |