À Julien Travers.
On n’a pu l’emmener qu’à la dernière danse.
C’était son premier bal, songez ! et la prudence
De sa mère a cédé jusqu’au bout au désir
De la voir, embellie encor par le plaisir,
Résister du regard au doigt qui...
À Julien Travers. On n’a pu l’emmener qu’à la dernière danse. |
Nous revenions, tous deux, par le triste chemin, Je sondais, grave aussi, ce large flot humain, |
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