La couronne formidable des rois
En s’appuyant de tout son poids
Sur un masque de cire
Semblait broyer, dans ce hall froid,
Tout un empire.
Le pâle émail des yeux usés
S’était fendu en agonies
Minuscules, mais infinies,
Sous les...
La couronne formidable des rois Le pâle émail des yeux usés |
|
Où vont ces chars pesans conduits par leurs... |
Un jour, — pardonnez-moi ce crime, ô grands plastiques ! |
Au Louvre, je vais voir ces délicats modèles J’aime cette flottille avec ses bagatelles, |
Des déesses et des mortelles Sous leur ciseau s’envole et tombe |
Hélas ! il est cloué sur les croix du Caucase, Mais du moins, vers le soir, s’accoudant à la base |
Elle veille en sa chaise étroite ; |