Tu m’as trahi, Nana, cette nuit, je le vois.
Tout me le prouve, tout : tes yeux fanés, ta voix
Qui ne peut me tromper, ta démarche lassée…
Cette guirlande à tes cheveux entrelacée,
Qui s’écroule… et tel un coquillage où les flots
Ont, en partant, laissé l’écho de...
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Ton corps est un jardin impérial : Sur tes seins blancs, voici les lis éclore, |
Ô vieux marcheur, épuisé devant l’âge, |
Absinthe, je t’adore, certes ! Ton frais parfum me déconcerte. Qu’... |
Dieu ! que la France est vaine Là-bas, le mariage |
Dix centimètres ! quelle cuite ! Mais, ô savant, que je respecte, |
Dieu ! quelle belle Académie L’ancienne étant un modèle, ... |
Oui — me dit monsieur Bertillon, L’invention est assez drôle Je me... |
Ô Carême ! du haut du Ciel, |
Étant à la table d’hôte Ma surprise fut extrême |