• Felsentochter, die du mit holdem Kosen
    Durch die Wiesen dich schlängelst, und der Ufer
    Mannigfaches Gebild so hell zurückstrahlst,
                        Liebliche Quelle!

    5      Wenn ich sehnend zu dir herab mich neige,
    Strahlt mir deutlich mein Bild aus dir entgegen,
    Doch kaum weich’ ich, so ist das hell gestrahlte
                        Wieder...

  • Quelle der Verjüngung.
    Glaubt mir, es ist kein Mährchen, die Quelle der Jugend, sie rinnet
         Wirklich und immer, ihr fragt wo? In der dichtenden Kunst.

  • Heilige Quelle,
    Wie so schön helle!
    Ach wärst du nicht so rein
    Ich legte mich hinein.
    Zwar wär es Sünd' auf lebenlang:
    Doch macht mir nicht die Hölle bang.
    Hab ich sie doch im Busen hier,
    So lange W- fehlet mir.
    Heilige Quelle,
    Wie so schön helle
    Ach! trocknetest du...

  • Meiner Stimme Quelle stürzt
    felsherab
    verrieselt
    stirbt
    im Gestein verloren
    Schmerzen wuchten stämmig hoch
    wälderdumpf
    drängen schwüle Wolkenschwere
    in der Seele Sonnentanz
    und es hängt des Auges bunte Wimpel
    zage wehend
    vor dem Sturm...

  • Felsentochter, die du mit holdem Kosen
    Durch die Wiesen dich schlängelst, und der Ufer
    Mannigfaches Gebild so hell zurückstrahlst,
    Liebliche Quelle!

    Wenn ich sehnend zu dir herab mich neige,
    Strahlt mir deutlich mein Bild aus dir entgegen,
    Doch kaum weich' ich, so ist das hell gestrahlte
    ...

  • Quel est la fin de tout ? la vie, ou bien la tombe ?
    Est-ce l’onde où l’on flotte ? est-ce l’ombre où l’on tombe ?
    De tant de pas croisés quel est le but lointain ?
    Le berceau contient-il l’homme ou bien le destin ?
    Sommes-nous ici-bas, dans nos maux, dans nos joies,
    Des rois prédestinés ou de fatales proies ?
    O Seigneur, dites-nous, dites-nous, ô Dieu fort...

  • Quelle soie aux baumes de temps
    Où la Chimère s’exténue
    Vaut la torse et native nue
    Que, hors de ton miroir, tu tends !

    Les trous de drapeaux méditants
    S’exaltent dans notre avenue :
    Moi, j’ai ta chevelure nue
    Pour enfouir mes yeux contents.

    Non ! La bouche ne sera sûre
    De rien goûter à sa morsure,
    S’il ne fait, ton princier amant...

  • Quelle soie aux baumes de temps
    Où la Chimère s’exténue
    Vaut la torse et native nue
    Que, hors de ton miroir, tu tends !

    Les trous de drapeaux méditants
    S’exaltent dans notre avenue :
    Moi, j’ai ta chevelure nue
    Pour enfouir mes yeux contents.

    Non ! La bouche ne sera sûre
    De rien goûter à sa morsure,
    S’il ne fait, ton princier amant...

  • Quelle soie aux baumes de temps
    Où la Chimère s’exténue
    Vaut la torse et native nue
    Que, hors de ton miroir, tu tends !

    Les trous de drapeaux méditants
    S’exaltent dans notre avenue :
    Moi, j’ai ta chevelure nue
    Pour enfouir mes yeux contents.

    Non ! la bouche ne sera sûre
    De rien goûter à sa morsure
    S’il ne fait, ton princier amant...

  • Où la Chimère s'exténue
    Vaut la torse et native nue
    Que, hors de ton miroir, tu tends !

    Les trous de drapeaux méditants
    S'exaltent dans une avenue :
    Moi, j'ai ta chevelure nue
    Pour enfouir des yeux contents.

    Non. La bouche ne sera sûre
    De rien goûter à sa morsure,
    S'il ne fait, ton princier amant,

    Dans la considérable touffe...