• An Louise.
    Mit einem Gedichte von Ossian.

    Nimm dieses Lied das in vergangnen Zeiten
    Des Alterthums der weise Barde sang,
    Nie hat ein Lied auf eines Sängers Saiten
    Dahingerauscht, das diesem gleich erklang: –
    5 „Malvina, komm, du mußt den Vater leiten
    Zum Hügel dort, das stille Thal entlang!“
    So sprach der Greis, und gern vernahm die...

  • Madame et Pauline Roland,
    Charlotte, Théroigne, Lucile,
    Presque Jeanne d’Arc, étoilant
    Le front de la foule imbécile,
    Nom des cieux, cœur divin qu’exile
    Cette espèce de moins que rien
    France bourgeoise au dos facile,
    Louise Michel est très bien.

    Elle aime le Pauvre âpre et franc
    Ou timide, elle est la faucille
    Dans le blé mûr pour le...

  •  
    Une mère, vois-tu, c’est là l’unique femme
    Qu’il faille aimer toujours,
    A qui le ciel ait mis assez d’amour dans l’âme
    Pour chacun de nos jours.
    (A. de LATOUR)

    Quand elle reposa, sous un tertre sans nom,
    Celle à qui nous liait le filial chaînon,
    Et que, sur ce gazon où l’arbuste s’incline,
    Pleuraient ses fils enfans et sa...

  •  
    Cette chanson est associée à la Commune de Paris.

    À Louis Montégut

    Louise, c'est l'impersonnelle
    Image du renoncement.
    Le «moi» n'existe plus en elle ;
    Son être est tout au dévouement.
    Pour ce cœur vaste et secourable,
    Ivre de...

  • She knew that she was growing blind,—
        Foresaw the dreary night
    That soon would fall, without a star,
        Upon her fading sight;

    Yet never did she make complaint,
        But prayed each day might bring
    A beauty to her waning eyes,—
        The loveliness of spring!

    She dreaded that eclipse which might
        Perpetually...

  •   I ’m in love with you, Baby Louise!
    With your silken hair, and your soft blue eyes,
    And the dreamy wisdom that in them lies,
    And the faint, sweet smile you brought from the skies,—
      God’s sunshine, Baby Louise.

      When you fold your hands, Baby Louise,
    Your hands, like a fairy’s, so tiny and fair,
    With a pretty, innocent, saint-like...

  • I

    L'année en s'enfuyant par l'année est suivie.
    Encore une qui meurt ! encore un pas du temps ;
    Encore une limite atteinte dans la vie !
    Encore un sombre hiver jeté sur nos printemps !

    Le temps ! les ans ! les jours ! mots que la foule ignore !
    Mots profonds qu'elle croit à d'autres mots pareils !
    Quand l'heure tout à coup lève sa voix sonore...

  • Quel Dieu grava cette majesté douce
    En ce gai port d'une prompte allégresse ?
    De quel lis est, mais de quelle déesse
    Cette beauté qui les autres détrousse ?
    Quelle Sirène hors du sein ce chant pousse,
    Qui décevrait le caut Prince de Grèce ?
    Quels sont ces yeux mais bien quel trophée est ce
    Qui tient d'amour l'arc, les traits et la trousse ?
    Ici le...

  • Le vieux père en tremblant ébranlait l'univers.
    Isis, la mère enfin se leva sur sa couche,
    Fit un geste de haine à son époux farouche,
    Et l'ardeur d'autrefois brilla dans ses yeux verts.

    "Regardez-le ! dit-elle, il dort, ce vieux pervers,
    Tous les frimas du monde ont passé par sa bouche,
    Prenez garde à son pied, éteignez son oeil louche,
    C'est le roi...