• En vano, altiva Londres, a porfía
    te enriqueces, te ensanchas y te pueblas,
    si en una nueva atmósfera sombría
    te envuelve el humo y tus eternas nieblas;
    si no difiere lo que llamas día
    de las nocturnas lóbregas tinieblas,
    o, como triste pasajera tarde,
    entre dos noches dilatadas arde.
    ¿Qué vale tu grandeza y poderío
    y la corona azul del...

  •  
    C’est un espace immense et d’une longueur telle
    Qu’il faut pour le franchir un jour à l’hirondelle,
    Et ce n’est, bien au loin, que des entassements
    De maisons, de palais, et de hauts monuments,
    Plantés là par le temps sans trop de symétrie ;
    De noirs et longs tuyaux, clochers de l’industrie,
    Ouvrant toujours la gueule, et de leurs ventres chauds...

  • Dans une tour de Londres
    Y’a des morpions qui m’emmerdent la nuit
    Sans bruits, sans bruits (bis)
    Dans une tour de Londres
    Y’avait un prisonnier (bis)
    Eins, zwei
    Y’avait un prisonnier
    La bite au cul les couilles pendantes
    Y’avait un prisonnier
    La bite au cul bien enfoncée
    Ohé, ohé, ohé (bis)...

  • A Londres je connus Bella,
    Princesse moins lointaine
    Que son mari le capitaine
    Qui n'était jamais là.

    Et peut-être aimait-il la mangue ;
    Mais Bella, les Français
    Tels qu'on le parle : c'est assez
    Pour qui ne prend que langue ;

    Et la tienne vaut un talbin.
    Mais quoi ? Rester rebelle,
    Bella, quand te montre si belle
    Le désordre...

  • Et ce Londres de fonte et de bronze, mon âme,
    Où des plaques de fer claquent sous des hangars,
    Où des voiles s'en vont, sans Notre-Dame
    Pour étoile, s'en vont, là-bas, vers les hasards.

    Gares de suie et de fumée, où du gaz pleure
    Ses spleens d'argent lointain vers des chemins d'éclair,
    Où des bêtes d'ennui bâillent à l'heure
    Dolente immensément, qui...