Les étoiles, au Nord lentement effacées,
Sont des tisons mourants sur des piliers d’airain,
Et l’ombre, plus profonde autour de mes pensées,
S’abaisse sur mon front comme un ciel souterrain.
Et, spirale attirante et que semblent descendre
Des lumières qu’effare une haleine d’en bas,
Comme un gouffre se creuse en un sol fait de cendre,
L’abîme...