Il existe deux versions de ce poème.
Point de repos pour l’âme humaine Sur ce monceau de terre où nous sommes jetés : Les chagrins & les maux d’une incessante haleine Y soufflent leur vapeur malsaine,...
Des nuits du blond et de la brune Rien dans la chambre n’est resté,[3] Pas une dentelle d’été Pas une cravate commune.
Rien sur le balcon où le thé[4] Se prend aux heures de la lune. Il n’est resté de trace aucune...