Le disque glorieux tombant dans les flots roux
Éclabousse d’éclairs le mur de la falaise ;
Il semble que dans l’air apaisé tout se taise,
Et que la mer farouche endorme son courroux.
La vague, avec un son mélancolique et doux,
Se gonfle en frissonnant sous le vent qui la baise,
Et scintille aux derniers reflets de la fournaise
Qui fait l’aurore...