Felsentochter, die du mit holdem Kosen
Durch die Wiesen dich schlängelst, und der Ufer
Mannigfaches Gebild so hell zurückstrahlst,
                    Liebliche Quelle!

5      Wenn ich sehnend zu dir herab mich neige,
Strahlt mir deutlich mein Bild aus dir...

Quelle der Verjüngung.
Glaubt mir, es ist kein Mährchen, die Quelle der Jugend, sie rinnet
     Wirklich und immer, ihr fragt wo? In der dichtenden Kunst.

Heilige Quelle,
Wie so schön helle!
Ach wärst du nicht so rein
Ich legte mich hinein.
Zwar wär es Sünd' auf lebenlang:
Doch macht mir nicht die Hölle bang.
Hab ich sie doch im Busen hier,
So lange W-...

Meiner Stimme Quelle stürzt
felsherab
verrieselt
stirbt
im Gestein verloren
Schmerzen wuchten stämmig hoch
wälderdumpf
drängen schwüle Wolkenschwere
in der Seele Sonnentanz
und es...

Felsentochter, die du mit holdem Kosen
Durch die Wiesen dich schlängelst, und der Ufer
Mannigfaches Gebild so hell zurückstrahlst,
Liebliche Quelle!

Wenn ich sehnend zu dir herab mich neige,
Strahlt mir deutlich...

Quel est la fin de tout ? la vie, ou bien la tombe ?
Est-ce l’onde où l’on flotte ? est-ce l’ombre où l’on tombe ?
De tant de pas croisés quel est le but lointain ?
Le berceau contient-il l’homme ou bien le destin ?
Sommes-nous ici-bas, dans nos maux, dans nos joies,...

Poet: Victor Hugo

Quelle soie aux baumes de temps
Où la Chimère s’exténue
Vaut la torse et native nue
Que, hors de ton miroir, tu tends !

Les trous de drapeaux méditants
S’exaltent dans notre avenue :
Moi, j’ai ta chevelure nue
Pour enfouir mes yeux contents.

Non...

Quelle soie aux baumes de temps
Où la Chimère s’exténue
Vaut la torse et native nue
Que, hors de ton miroir, tu tends !

Les trous de drapeaux méditants
S’exaltent dans notre avenue :
Moi, j’ai ta chevelure nue
Pour enfouir mes yeux contents.

Non...

Quelle soie aux baumes de temps
Où la Chimère s’exténue
Vaut la torse et native nue
Que, hors de ton miroir, tu tends !

Les trous de drapeaux méditants
S’exaltent dans notre avenue :
Moi, j’ai ta chevelure nue
Pour enfouir mes yeux contents.

Non...

Où la Chimère s'exténue
Vaut la torse et native nue
Que, hors de ton miroir, tu tends !

Les trous de drapeaux méditants
S'exaltent dans une avenue :
Moi, j'ai ta chevelure nue
Pour enfouir des yeux contents.

Non. La bouche ne sera sûre
De rien...