A nos flancs s’est usé l’éperon homicide,
Qui, sanglant, résonnait sur le talon royal ;
Le coursier populaire a, d’un pied régicide,
Écrasé le bandeau sur le front déloyal ;
Brisant de son poitrail la caduque barrière
Qu’en vain l’épée esclave essaya d’...
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TU sais la volupté qui prête au corps une âme, Ton profil noble et doux, tes limpides prunelles |
J’irais à pas discrets cueillir de l’églantine, |
Le Jeune Homme divin, nourrisson de Délos, |
Le Jeune homme divin, nourrisson de Délos, À l’essieu plein de force il attache soudain |
I Ma vieille tante Gribiche, II Or, cette samaritaine |
Rien au réveil que vous n'ayez |
Ô père qu'adore mon père! |
Si tu m'appartenais (faisons ce rêve étrange ! ), |
Sur ce lit de roseaux puis-je dormir encore ? |