Jeune homme sans mélancolie,
Blond comme un soleil d’Italie,
Garde bien ta belle folie.
C’est la sagesse ! Aimer le vin,
La beauté, le printemps divin,
Cela suffit. Le reste est vain.
Souris, même au destin sévère !
Et quand...
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Pour les mélanger sur des toiles |
Je m’alanguissais, à voir |
Au rhythme ailé d’or |
Poète, il est fini l'âpre temps des épreuves. Au milieu des brumes d'Arvor Heureux qui resta pur... |
Auguste, mon très bon, qui toujours as fléchi Pourquoi décidément ce monde où nous rions |
Tout est fini, si tu le veux ; |
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Hélas ! qu'il fut long, mon amie, Pendant lequel, tâchant de naître Cette nuit où nos voix se turent, |