Toutes deux mourront vierges.....
L’une,
Corps en fleurs et cœur en éveil,...
I
Toutes deux mourront vierges..... II
L’une, |
Une habitude longue et douce lui faisait Un jour que le soleil piquant et clair grisait |
Je suivis dans le bois l’enfant aux cils soyeux. |
Augias, roi d’Élis, avait trois mille bœufs. |
A travers le réseau des branches que l’hiver Tu manquais à mon bras, mignonne, et ton pied cher |
Aux Champs Élyséens, Léthé dort immobile. Sous les cyprès obscurs dans l’abîme... |
C’est une chambre où tout languit et s’effémine ; Plein de la voix mêlée autrefois à la sienne, |
Le grand cintre de l’arche encadre un clair tableau. Peinte légèrement du bout d’un fin pinceau, |
Sur la route creusée aux flancs de la colline, |
Çûrya fait resplendir et fumer les rivages. Là-bas, roulant son ombre aux pentes du ravin, |