[142] Am Schluß des Jahres 1849.
Die Glocken hallen dumpf am Jahresende,
In diesen schweren unheilvollen...
[142] Am Schluß des Jahres 1849. Die Glocken hallen dumpf am Jahresende, |
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Quand tes beaux pieds distraits errent, ô jeune fille, L’écrin de l’Océan n’en a point de pareille ; |
Ô terre, vil monceau de boue Sans ces urnes où goutte à goutte |
Orchestre du Très-Haut, bardes de ses louanges, Tant que durent les fleurs, tant que l'épi qu'on coupe |
Lorsque vient le soir de la vie, |
Encor mal éveillé du plus brillant des rêves, |