Ô Muses, par tous ces héros que vous pleurez
Et qui sont morts, là-bas, loin de vos bras sacrés,
Vous voici, désormais, en une double Gloire,
Filles de la Patrie et sœurs de la Victoire !
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Tes pas sont lourds. L’âge te courbe. Tu es vieux |
Je jure de garder dans mon cœur cette haine |
« Hier encor, j’aimais les roses, « Aux murmures des fontaines, « Elles... |
On attend. Nul cœur n’est sombre En vain la horde barbare Que les trois couleurs de France... |
Ils ont dit, fous de haine et d’orgueil : « Nous allons |
La porte s’entrebâille et le volet se clôt ; |
Dans l'aurore rieuse ou le matin qui vente La pêche est incertaine et nargue qui se vante, |
Le galop de la houle écume à l'horizon. |
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