• Wie oft, wenn du, o meine Holde, spieltest
    Auf dem beglückten Holz, das zitternd tönt
    Von deines Fingers Griff, wenn auf du wühltest
    Des Gleichklangs Ton, nach dem mein Ohr sich sehnt,
    5 Beneidet’ ich die Tasten, die in Eil’
    Sich drängten, deine zarte Hand zu küssen,
    Da meine armen Lippen ihren Theil,
    Erröthend, kühnem Holz geschenkt seh’n...

  • Les funestes complots des âmes forcenées
    Qui pensaient triompher de mes jeunes années
    Ont d’un commun assaut mon repos offensé.
    Leur rage a mis au jour ce qu’elle avait de pire :
            Certes, je le puis dire ;
    Mais je puis dire aussi qu’ils n’ont rien avancé.
     
    J’étais dans leurs filets, c’était fait de ma vie ;
    Leur funeste rigueur, qui l’...