THY 1 error, Frémont, simply was to act
A brave man’s part, without the statesman’s tact,
And, taking counsel but of common sense,
To strike at cause as well as consequence.
O, never yet since Roland wound his horn
At Roncesvalles has a blast been blown
Far-heard, wide-echoed, startling as thine own,
Heard from the van of freedom’s hope...
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Le temple enseveli divulgue par la bouche
Sépulcrale d'égout bavant boue et rubis
Abominablement quelque idole Anubis
Tout le museau flambé comme un aboi farouche
Ou que le gaz récent torde la mèche louche
Essuyeuse on le sait des opprobres subis
Il allume hagard un immortel pubis
Dont le vol selon le réverbère découche
Quel... -
L'homme est un balancier qui frappe une monnaie à son
coin. La quadruple porte l'empreinte de l'empereur,
la médaille du pape, le jeton du fou.
Je marque mon jeton à ce jeu de la vie où nous perdons
coup sur coup et où le diable, pour en finir, râfle
joueurs, dés et tapis vert.
L'empereur dicte des ordres à ses capitaines, le pape
adresse des... -
Je ne t'ai pas connu, je ne t'ai pas aimé,
Je ne te connais point et je t'aime encor moins :
Je me chargerais mal de ton nom diffamé,
Et si j'ai quelque droit d'être entre tes témoins,
C'est que, d'abord, et c'est qu'ailleurs, vers les Pieds joints
D'abord par les clous froids, puis par l'élan pâmé
Des femmes de péché - desquelles ô tant oints,
Tant... -
Ô Charles, je te sens près de moi. Doux martyr,
Sous terre où l'homme tombe,
Je te cherche, et je vois l'aube pâle sortir
Des fentes de ta tombe.
Les morts, dans le berceau, si voisin du cercueil,
Charmants, se représentent ;
Et pendant qu'à genoux je pleure, sur mon seuil
Deux petits enfants chantent.
Georges, Jeanne, chantez ! Georges,... -
Il ne sera pas dit que ce jeune homme, ô deuil !
Se sera de ses mains ouvert l'affreux cercueil
Où séjourne l'ombre abhorrée,
Hélas ! et qu'il aura lui-même dans la mort
De ses jours généreux, encor pleins jusqu'au bord,
Renversé la coupe dorée,
Et que sa mère, pâle et perdant la raison,
Aura vu rapporter au seuil de sa maison,
Sous un... -
Maître, il est beau ton Vers ; ciseleur sans pareil,
Tu nous charmes toujours par ta grâce nouvelle,
Parnassien enchanteur du pays du soleil,
Notre langue frémit sous ta lyre si belle.
Les Classiques sont morts ; le voici le réveil ;
Grand Régénérateur, sous ta pure et vaste aile
Toute une ère est groupée. En ton vers de vermeil
Nous buvons ce poison...