Pour Pierre de Bouchaud.
Sur quelles mers, sous quels caps de l’infini sombre,
La flotte des soleils, aux pavois bardés d’or,
Eteindra-t-elle enfin ses feux, sanglants encor
Des suprêmes combats livrés aux Dieux de l’...
Sur quelles mers, sous quels caps de l’infini sombre, |
Le désert est immense : une houle de pierres C’est l’heure où le Touran, sol d’argile et de braise, |
Quand je m’endormirai sous la splendeur des astres, Et les aigles du Verbe, apaisant leur essor, |
Aujourd’hui notre terre est une nef, que guide Comme un... |
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O Foudroyé, tombé des gloires de tes cieux, |