Ô rêves de jeunesse, éblouissant mirage,
Qui vous arrachera de mon cœur éperdu ?
Qu’étaient donc ma raison, ma force, mon courage,
Qu’ils aient fui pour un mot dans la nuit entendu ?

Amour ! oh ! c’est bien toi dont j’ai senti la flamme,
Toi qui fais mon...

 
Ô rêves de jeunesse, éblouissant mirage,
Qui vous arrachera de mon cœur éperdu ?
Qu’étaient donc ma raison, ma force, mon courage,
Qu’ils aient fui pour un mot dans la nuit entendu ?

Amour ! oh ! c’est bien toi dont j’ai senti la flamme,
Toi qui fais mon...

Eh quoi ! votre printemps sourit à mon automne,
Y pensez-vous, jeune beauté !
J’ai l’âge où les ardeurs ont besoin d’une tonne ;
...

J’aime tes belles mains longues & paresseuses,
Qui, pareilles au lis, n’ont jamais travaillé,
Mais savent le secret des musiques berceuses
Qui parlent à voix lente au cœur émerveillé. —
J’aime tes belles mains longues & paresseuses.

J’aime tes petits pieds...