Der Liebe süsser Ton verhallte,
Wie dort die Wellen rauschend schwinden,
Um tief ein kaltes Grab zu finden.
Ach! Alles, was vorüber wallte,
Lässt seines kurzen Daseyns Glück
Nicht einer Menschenbrust zurück.
Ich folge bald dir, flücht'ge Meereswelle,
Wie dich, zieht mich das Schicksal bald hinab;...
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Viens dans le parc nocturne où dorment les fontaines,
Mon amour ! Ne crains pas ce qu’on voit dans la nuit,
Et ne frissonne plus parce qu’un vent fortuit
A troublé la forêt sous ses voûtes lointaines.Laisse-moi te mener. Dans les miennes tes mains
Sont un fardeau plus doux que des fleurs ou des ailes.
Ecoute, les taillis sont pleins de souffles frêles.... -
La rue était déserte et donnait sur les champs.
Quand j'allais voir l'été les beaux soleils couchants
Avec le rêve aimé qui partout m'accompagne,
Je la suivais toujours pour gagner la campagne,
Et j'avais remarqué que, dans une maison
Qui fait l'angle et qui tient, ainsi qu'une prison,
Fermée au vent du soir son étroite persienne,
Toujours à la même...