[193]
Das Urteil des Paris.
Eine Culturlegende.
Von den Höhen des Olympos löst sich eine lichte Wolke,
wandert über Flur und Fluten, rastet über Trojas Volke.
Und die Menge sieht mit Staunen, und die...
[193]
Das Urteil des Paris.
Eine Culturlegende.
Von den Höhen des Olympos löst sich eine lichte Wolke,
wandert über Flur und Fluten, rastet über Trojas Volke.
Und die Menge sieht mit Staunen, und die...
Jean de Paris, bravo ! radieux dans ta loge,
Prodigue à ton patron des sourires d’éloge ;
Tu peux battre des mains à ses prouesses, mais
L’imiter, rarement, le comprendre, jamais.
L’escrime fatigua tes mains inoccupées ;
Ton pistolet au tir abattit cent poupées,
Par ta canne dansante un enfant effleuré
Pleure, et tu le tueras parce qu’il a pleuré...
Adieu, Paris, ville de fer,
Ville de vent, ville de rêve,
Cher Paris où l’amour se lève,
Doux Paris où j’ai tant souffert !
Et le train file, file, file,
Comme un éclair en pleine nuit…
Mon cœur fait encor plus de bruit,
Mon cœur qui n’est jamais tranquille.
Voici, sous la lune de Mai,
La...
C'est à Paris qu'on voit la foule
Se rassembler au moindre bruit ;
Si c'est un pochard qui se roule,
Prenant le ruisseau pour son lit...
Le sage en passant le contourne,
Mais... le badaud s'arrêtera,
Tant que la terre tourne, tourne,
Tant que la terre tournera
Refrain
Badauds par ci,
Badauds par là,
Faisant ceci...
...
D’un hémisphère à l’autre, ô Globe, tu tressailles ;
C’est notre dix-huit mars, c’est la date où Versailles,
— Le Passé, — se rua sur Paris — l’Avenir, —
D’un trop long héroïsme on voulait le punir.
L’impure Babylone, énervée, enrichie,
Que, par vingt ans d’Empire, on croyait avachie ;
Boudoir puant le musc, et, Caserne, le schnick ;
Où trônaient et...
Musique : sur l'air de Fualdès
1.
Non jamais sur cette terre
On ne vit en vérité,
Pareille calamité,
Ni plus affreuse misère,
Que celle que l’on subit
Sous le siège de Paris.
2.
Paris ! cette ville aimable,
Qui donc ose l’assiéger ?
Serait-ce cet étranger,
Qu’avec un accueil affable
Elle admettait dans son...
I
L'Occident était blanc, l'orient était noir ;
Comme si quelque bras sorti des ossuaires
Dressait un catafalque aux colonnes du soir,
Et sur le firmament déployait deux suaires.
Et la nuit se fermait ainsi qu'une prison.
L'oiseau mêlait sa plainte au frisson de la plante.
J'allais. Quand je levai mes yeux vers l'horizon...
Le Soleil qui sur nous dardait ses feux rapides,
A donc été vaincu par des astres perfides,
Et ses feux endormis ont fait place aux éclairs.
Quel charme assez puissant put fasciner la vue
De cet aigle, enfant de la nue,
Dont les regards ardens dévoraient l’univers ?
Un dieu vient de céder à des forces humaines ;
Quels bras l’ont enchaîné ? Des...
« Comment mourra Paris ? quels insolents hasards
Oseraient, ce géant, le renverser sur l’herbe ?
Paris qui, d’âge en âge, a noué dans sa gerbe
Les éparses moissons d’Athène et des Césars !
» Lui, palais des palais, et bazars des bazars ;
Le cerveau de l’Europe, et la grâce superbe,
Paris, l’ardent foyer, Paris, la cité-verbe,
Le trône de la guerre et...