Je ne sais pas ton nom, comtesse ou bien marquise,
Dont le portrait charmant rit dans ce cadre d’or ;
Mais nulle, en sa beauté, n’eut plus de grâce exquise,
Au temps qu’on était jeune et qu’on aimait encor.
Tes cheveux à frimas, où le zéphyr se joue,
Effleurent mollement ton visage vermeil,
Car le pastel du maître a semé sur ta joue
L’...