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  • Si nous vivions au siècle où les dieux éphémères
    Se couchaient pour mourir avec le monde ancien,
    Et de l’homme et du ciel détachant le lien,
    Rentraient dansTombre auguste où résident les Mères ;

     

    Les regrets, les désirs, comme un vent furieux,
    Ne courberaient encor que les ftmes communes ;
    n serait beau d’être homme en de telles fortunes,
    Et...

  • Porphyris te consacre, ô Bakkhos, Dieu du vin,
    Ce thyrse couronné d’une pomme de pin,
    La peau de cerf, longtemps enroulée à ses hanches,
    Ce sistre, ce tambour, ces bandelettes blanches,
    Instruments et témoins de sa jeune fureur !
    Elle ne hante plus les grands bois pleins d’horreur,
    Sous le mystique van, ceinte de la nébride :
    Car sa tête blanchit et...

  • Si nous vivions au siècle où les Dieux éphémères
    Se couchaient pour mourir avec le monde ancien,
    Et, de l'homme et du ciel détachant le lien,
    Rentraient dans l'ombre auguste où résident les Mères ;

    Les regrets, les désirs, comme un vent furieux,
    Ne courberaient encor que les âmes communes ;
    Il serait beau d'être homme en de telles fortunes,
    Et d'...