Quand les chênes moussus, vieillis dans les bruyères,
Sur un sol clairsemé d’ombres et de lumières,
Se dorent aux rayons du soir...
Lorsqu’aux pentes des monts parfumes et plus sombres
Danse sous les noyers un léger réseau d’ombres,
Souvent j’ai cru vous entrevoir.
Je vous vois quand, le soir, le meunier paît sa mule,
Ombre...