Lorsque je serai las de traîner sans envie
Le boulet douloureux du bagne de la vie ;
Lorsque mon cœur blessé sera tout à fait mort,
J’irai, fier, calme et seul, sans crainte ni remord,
Mourir sur une grève où la mer éternelle
Chante loin des humains sa plainte solennelle.
Je m’étendrai, serein, sur le sable mouvant.
Et je resterai là, l’œil...