Le ciel flambe et la terre fume,
La caille frémit dans le blé ;
Et, par un spleen lourd accablé,
Je dévore mon amertume.
Sous l’implacable Thermidor
Souffre la nature immobile ;
Et dans le regret et la bile
Mon chagrin s’aigrit plus encor.
Sous l’implacable Thermidor |
L’an mil quatre cent trois, juste un mois après Pâques, |
À Claudius Popelin, maître émailleur. Après avoir blanchi sous un grimoire antique, Mais, comme pour... |
J’AURAI cinquante ans tout à l’heure ; Je souffre pourtant aujourd’hui |
Si chétive, une haleine, une âme, Elle avait cinq ans ; son épaule |
Las des pédants de Salamanque Que je couche entre quatre toiles, |
Pour aimer une fois encor, mais une seule, |
Longuement poursuivi par le spleen détesté, |
Lecteur, à toi ces vers, graves historiens |
Un jour, — pardonnez-moi ce crime, ô grands plastiques ! |