À Philoxène Boyer.
Ah ! pauvres maisons éventrées
Par le marteau du niveleur,
Pauvres masures délabrées,
Pauvres nids qu’a pris l’oiseleur !
Quand, sous le suaire des nues,
Au bord des larges boulevards,
Se dressent vos carcasses nues
Comme autant de spectres blafards,
Quand vos cloisons mal affermies
Livrent aux...