Souvent en respirant ces nocturnes haleines,
Qui des monts éloignés descendent sur les plaines
Ou des bords disparus sur les vagues des mers,
On croit dans ces odeurs, que l’esprit décompose,
Respirer le parfum des lis ou de la rose,
Apporté de loin par les...
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Ta nature est pourtant la même ; |
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La respiration douce |
Là, toute inimitié s’efface sous la... |
Dans les plis d’un coteau j’étais assis à terre, |
MICOL, dans l’obscurité, sans voir Jonathan. Lastre des nuits à peine a fini sa carrière, |
Oh ! quand cette humble cloche à la lente volée |
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