Pourquoi pleurer, ma Muse, à ton premier...
A sa Muse – A Diane – A la Jeune Fille de Mégare… [1]
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(Traduit d’Anacréon.)
La fille de Tantale, en sa forme nouvelle, Que je sois ton miroir, pour que vers moi sans cesse |
Pourquoi, tout à coup, quand tu joues, Ta vie était, jusqu’au moment |
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Elle rêvait sans doute aussi que son haleine... |
Quel ravissant plaisir d'entendre, Elle vibre, sonore et pleine, |
— A travers les plis de mon rideau rose, Ce n'est pas non plus le reflet morose |
On ne sait pas pourquoi Est-ce qu'elle se doute |
Brune à la taille svelte, aux grands yeux noirs, brillants, |
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