Des fluides moments nul ne voit le passage,
Et le printemps des jours s’éteint comme il est né ;
C’est insensiblement, sur le fleuve de l’âge,
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Un jour que cet enfant d’Hermès et d’Aphrodite |
Funeste et ravissante, à l’inconnu qui passe |
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Le premier homme est né, mais il est solitaire. |
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À ces marbres,... |
Je me... |