Quand le printemps a mûri l’herbe
Qui porte la vie et le pain,
Le moissonneur liant la gerbe
L’emporte à l’aire du bon grain ;
Il ne regarde pas si l’herbe qu’il enlève
Verdit encore au pied de jeunesse et de sève,
Ou si, sous les épis courbés en...
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La respiration douce |
Là, toute inimitié s’efface sous la... |
Dans les plis d’un coteau j’étais assis à terre, |
MICOL, dans l’obscurité, sans voir Jonathan. Lastre des nuits à peine a fini sa carrière, |
Oh ! quand cette humble cloche à la lente volée |
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Avancez, |