Les toits semblent perdus
Et les clochers et les pignons fondus,
Par ces matins fuligineux et rouges,
Où, feux à feux, des signaux bougent.
Une courbe de viaduc énorme
Longe les quais mornes et uniformes ;
Un train s’ébranle immense et las...
Les toits semblent perdus Une courbe de viaduc énorme |
Les jours de rage militaire, |
|
Voici le dernier mois vermeil :
Lunes rouges, pourpres soleils. Et bellement, le long des haies, |
Mentons carrés et gros, cheveux pesants et roux, De l’eau au loin, partout. À peine un coin de terre ; |
L’ANCIENNE FOI
Si ton nom sonne creux dans ma ferme poitrine, Je t’ai... |
L’Angleterre ! |
Hôtels du Vieux Rempart et de la Cour du Prince,
Secrètement, en des lieux sûrs, Les coffres-forts rivaux de l’avare province. Des muffles de...
|
Vous, dont les bras tenaces sont à vendre ;
Faucheurs, aoûterons, betteraviers, À vos souliers. ...
|
Tandis qu’au loin, là-bas, autour des blancs moulins.
Jeunes et vieux, garçons et filles, |